Chénopode blanc,Anérine blanche,Poule grasse,Drageline, Senousse,Herbe aux vendangeurs,produits de mon jardin,plante Bio,non traité
Chénopode blanc,Anérine blanche,Poule grasse,Drageline, Senousse,Herbe aux vendangeurs,produits de mon jardin,plante Bio,non traité
Chénopode blanc sans aucun produits, sans aucun traitement
Prix pour 50 graines
Les épices et les graines,sont livrées dans des sachets en papier kraft et puis en sachet en plastique refermable pour des raisons de sécurité pendant le transport
dans mon jardin et potager,ainsi que pour mes arbres,je n'utilise aucun fertilisant ou produit chimique,juste du purin à base des ortie et bourrache macérée
N. scientifique
Chenopodium album
Famille
Chénopodiacées
Origine Europe du Nord, Moyen-Orient, Afrique du Nord
Floraison mars à mai puis parfois en automne
Fleurs vertes/blanchâtres
Type adventice
Végétation annuelle
Feuillage persistant
Hauteur jusqu'à 2 m
Planter et cultiver
Rusticité rustique
Exposition soleil, mi-ombre
Sol tous
Acidité neutre
Humidité assez frais
Plantation printemps
Multiplication semis
Chénopode blanc, Anérine blanche, Poule grasse, Drageline, Senousse, Herbe aux vendangeurs, Chenopodium album
Chénopode blanc (Chenopodium album) -jeune plant- photographié en juillet à Pithiviers-le-Vieil (45)
Le chénopode blanc (Chenopodium album) est une plante annuelle invasive faisant partie de la famille des Chenopodiacées ou des Amaranthacées. Elle pousse à l'état naturel en Europe de Nord mais aussi au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Véritable peste au jardin, elle s’adapte à tous les sols et affectionne toutes les cultures fertilisées. Elle colonise les cultures de nos agriculteurs, surtout le maïs et le tournesol et affectionne tout autant nos potagers. On la rencontre aussi dans les parcs, les friches et au bord des routes.
Sa croissance est remarquable sur les terres fréquemment travaillées et surtout arrosées. Elle est considérée comme la pire des "sauvages au jardin" surtout par les milliers de graines (± 100 000 par pied) qu'elle produit et qui se conservent très longtemps dans le sol (plus de 100 ans).
On reconnaît le chénopode blanc à son port dressé et à sa tige érigée, dure, ramifiée est souvent striée de rouge. Ses racines traçantes et superficielles s'étalent très loin autour de la tige. La plantule présente des cotylédons elliptiques, à sommets arrondis en massue, plus ou moins pétiolés. Une fois adulte la plante peut tout de même atteindre deux mètres de hauteur. Ses feuilles sont plus longues que larges, rétrécies à la base, farineuses à la face inférieure, et laissant une texture sableuse sur les doigts. Les feuilles inférieures sont opposées à limbe entier et ovale, les feuilles suivantes sont alternes, dentées, crénelées et rappelant par leur forme "une patte d'oie".
De juin à octobre, le chénopode produit des petites fleurs vertes parfois blanchâtres, voire un peu rougeâtres en épis denses qui donnent ensuite naissance à de petits fruits sous forme d'akènes noirs et luisants.
Confusion de détermination
Il existe un nombre important de chénopodes ainsi que de variétés du chénopode blanc (dont l'identification nécessite le recours au microscope).
Le chénopode blanc peut être confondu avec le chénopode hybride (Chenopodium hybridum) dont le limbe de grande taille se termine par 2 ou 4 grandes dents aiguës et triangulaires. Autres confusions possibles avec le chénopode rouge (Chenopodium rubrum) reconnaissable par la couleur des inflorescences et avec l'épazote (Chenopodium ambrosioides) qui a une odeur de citronnelle.
La confusion est aussi possible avec l'arroche des jardins (Atriplex hortensis) mais les 2 ou 4 premières feuilles sont disposées par paires opposées.
Utilisations culinaire et pharmaceutique
On peut consommer les feuilles (riches en protéines, en vitamines A et C) et les extrémités des tiges, cuites comme celles des épinards. Les jeunes tiges se consomment aussi comme des asperges.
La consommation du feuillage cru est déconseillée en raison de la saponine, des nitrates et de l'acide oxalique contenus dans la plante. Après cuisson, la saponine disparaît mais des oxalates apparaissent (les malades rénaux doivent donc s'en méfier).
Les racines fraîches écrasées donnent un substitut de savon doux.
Plante bio-indicatrice
La plante répond directement à la teneur en magnésium, mais surtout en azote du sol.
Je suis passionné par les herbes et épices lesquelles je les cultive dans mon potager
Touts mes produits sont issu de mon jardin bio et ce que je consomme moi même
Je n'accepte pas les retour car ce sont des produits consommable, mais vous pouvez me consulter avant